Les Inouïs #3

Le jeudi 24 juin 2021 - 14h à 17h

  • Lieu : Le WINOUÏS
  • Adresse : Parking Séraucourt
  • Thème : Concerts
  • Infos : Plus d'informations
KT Gorique :
C'est lors d'un voyage en Côte d'Ivoire, d'où est originaire une partie de sa famille, que la Suissesse KT Gorique a trouvé l'équilibre qui lui manquait : une balance parfaite entre reggae, hip-hop, musiques africaines et gros beats parfois trap, portée par des punchlines à foison. Entre Kingstown, le canton du Valais et Abidjan, la rappeuse met tout le monde d'accord. 
 
Ekko :
Un savant mélange entre rap actuel et technicité linguistique sur des instrumentaux recherchés à base de trap, de pop urbaine et de mélodies enjouées. La formule magique permet au jeune Ekko, accompagné sur scène d'un backeur et d'un DJ (trio gagnant!), de retourner les fans de Lino ou de L'Or du Commun. L'objectif est clair et fait un bien fou : se vider la tête et danser jusqu'au bout de la nuit !
 
Ottis Cœur :
Ottis Cœur, c'est deux filles qui chantent en français, et fort. Qui aiment le garage (et composent leur musique dans un), les guitares fuzz, le rock psyché, les harmonies de voix qui sonnent bien mais certainement pas comme de la folk gentillette, et puis la colère pas toujours refoulée. Celle d'un duo né pendant le premier confinement, qui en a ras-le-bol des abus de pouvoirs, des cons, et de leurs ex. Et avec une énergie pareille, impossible de ne pas crier avec elles !
 
Achile :
Avec une voix épatante, des textes fins et non dénués d'humour, de belles fréquentations (un feat avec Oxmo), Achile amincit encore un peu plus la frontière entre pop urbaine, chanson française et rap. Pourquoi choisir ? A tout juste 19 ans, l'autodidacte Tourangeau a déjà tout compris : en musique comme ailleurs, il vaut mieux abattre des murs que d'en ériger.
 
Vikken :
DJ et producteur, Vikken pose sur d'infaillibles boucles électro ou downtempo des textes en français en forme de monologue intérieur, racontant sans fard l'errance d'une génération tiraillée entre espoir et nihilisme, militantisme et envie de danser. Sans conteste poignant, ou quand la musique électronique n'oublie pas sa portée politique originelle.
 
Poltergeist :
Infusée à Depeche Mode, Talking Heads ou DAF, l'électronique sombre de Poltergeist pourrait tomber dans les clichés d'une tripotée de styles dont les noms se terminent en « wave » et louper le coche du XXIème siècle. Mais le jeune producteur-esprit frappeur sort systématiquement des sentiers battus : ses chansons en allemand ont la force de frappe d'un Kompromat perdu quelque part sur les rails d'un train... Fantôme, évidemment. Et le conducteur est formel : vous ne ressortirez pas indemnes du voyage.
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