Invariablement réceptif aux tempéraments de la littérature, René-Serge Sivrey aime reprendre Rimbaud, Artaud et... Villon. Rien de surprenant à ce que, le temps d'une lecture théâtralisée, il imagine les moments éprouvants vécus par ce dernier dans les geôles insalubres de l'époque comme s'il les avait vécus luimême.